Dans une interview accordée à The Africa Report, Emmanuel Babalola, directeur pour l’Afrique du géant du trading de cryptomonnaie Binance, a abordé des plans de l’entreprise pour le continent, de l’augmentation de 589 % des volumes de transactions des utilisateurs africains sur la plateforme et de la manière de convaincre les sceptiques préoccupés par la fraude, le capital vol et dommages environnementaux liés au Bitcoin.
Selon lui, 2022 est l’année de « la généralisation de la cryptographie ». Pour ce faire, Binance devra faire face à un éventail de sceptiques : de ceux qui y voient un moyen de commettre une fraude ou d’éviter l’impôt, des banques centrales qui s’inquiètent de la fuite non réglementée des capitaux et des décideurs politiques qui s’inquiètent de plus en plus de l’impact des devises comme le Bitcoin sur l’environnement.
Un challenge que la société est tout à fait indiquée pour relever. Binance est le premier écosystème de blockchain et de trading de cryptomonnaie au monde, échangeant 76 milliards de dollars par jour selon CryptoCompare. Il est au premier rang de ceux qui participent au développement du secteur dans le monde.