Vague de départ à BlackBerry. 250 postes ont été supprimés tout récemment dans la firme canadienne. Ces postes concernent l’activité recherche et développement du siège social canadien de BlackBerry basée à Waterloo. Lisette Kwong, porte-parole de la firme a expliqué que ces licenciements s’inscrivent dans « un plan de redressement visant à améliorer l’efficacité et à adapter notre société aux nouvelles opportunités dans l’informatique mobile ».
Si la société affirme que ces départs sont pour la plupart volontaire, tout porte à croire que cette vague de licenciement est tributaire au départ de certains dirigeants, ou à des difficultés que rencontre en ce moment l’entreprise.
Le dernier en date, rapporté en début de semaine par une bonne partie de la presse spécialisée, a été celui de David Smith, vice-président de la société, en charge du développement de la tablette PlayBook du groupe, dont les ventes n’ont jamais décollées.