Il y a un an, les internautes clamaient sur les réseaux sociaux ‘Bring Back Our Girls’ (rendez-nous nos filles). Mais jusqu’à présent, les autorités nigérianes n’arrivent à localiser les otages.
Le 14 avril 2014, Boko Haram attaquait une école de Chibok dans le nord-est du Nigeria et enlevait environ 276 jeunes filles. Près de 70 avaient réussi à s’échapper. Séparées, certaines ont été mariées de force, d’autres ont été entraînées pour devenir des combattantes, d’autres encore ont été assassinées.
La twittosphère s’est encore mobilisée pour ne pas les oublier.
#BringBackOurGirls, elles sont de tourments et de joie, d’esprit et d’espoir, elles sont nos filles, bourreaux! Rendez-les à leur avenir ChT
— Christiane Taubira (@ChTaubira) 14 Avril 2015
366 DAYS since the #ChibokGirls were kidnapped. Continue to demand #BringBackOurGirls. We will not be silenced. pic.twitter.com/oSnffVx3OA
— Bringbackourgirls (@rescueourgirls) 15 Avril 2015