Lu sur kwanzaamillenium.wordpress.com
A l’heure actuelle, le jeu vidéo peut-être consideré comme le huitieme art et cet art est tout particulièrement populaire chez les jeunes, ce qui tombe assez bien puisque l’âge moyen de la population Africaine est de 18 ans et la dispora Kamite ne fait guère augmenter cette moyenne. Evidemment il ne faut pas transformer cette jeunesse Kamite en “génération geek” mais le fait est que les jeux vidéos déclenchent de véritables passions chez les jeunes et que le potentiel créatif de ce domaine est tel qu’il peut transformer le virtuel en réel. L’exploitation de ce huitième art doit se faire dans le souci de changer l’image du noir auprès du jeune public, nous ne devons plus rester des gangsters guidés par l’appat du gain. Voyons donc de quelle manière les différents types de jeux peuvent-être utilisés pour la renaissance Africaine ensuite, viendra un plan de réalisation de cette véritable révolution virtuelle.
Les jeux de rôle, d’action, d’aventure, de combat et de guerre.
Avec ces jeux, les jeunes pourraient sans le savoir ingurgiter des programmes entiers d’histoire et même de morale, leur personnage pourrait évoluer dans un monde parfait qui les stimulerait à le recréer dans leur vie. Les scénarii pourraient retracer la vie de héros de l’Afrique Impériale ou Antique par exemple ou bien incorporer des éléments de l’imaginaire populaire Africain comme les légendes et les esprits. Ce type de jeux peut également ouvrir des débouchés pour la littérature Africaine.
Les jeux de course et de simulation
Leur rôle bien moins important en apparence pourrait-être se révéler incontournable pour les Africains évoluant dans le design industriel, ils pourraient par exemple créer des marques automobiles simuler des évolutions techniques et jauger la popularité de leurs créations en vue d’une mise en production. Ces jeux se déroulant sur pistes carrossables, la décoration pourrait également entrainer à l’urbanisme ou à l’architecture, les circuits les plus populaires pourraient même quitter le domaine virtuel pour créer dans le monde réel des compétitions de rang panafricain.
Les petits jeux d’arcades, de plateforme ou de réflexion.
Ces jeux peuvent avoir un intérêt éducatif comme par exemple favoriser l’apprentissage de langues, d’écritures ou encore de recettes et d’éléments culturels variés.
Les jeux de gestion et de strategie
Ils peuvent familiariser la population à la pratique de modèles économiques ou de gouvernement alternatifs, des sortes de laboratoires de société.
Les jeux de sport
Ce sont probablement les jeux préférés des jeunes Kamites, dans ces jeux, il est possible de créer des championnats Africains, de montrer que les jeunes génies du sport peuvent trouver leur épanouissement hors des grands clubs européens. Ces jeux peuvent même introduire ou créer des sports Africains.
Il reste encore de nombreux types de jeux utiles à la renaissance Africaine, mais les citer serait trop long…
Du virtuel au réel
Si vous êtes particulièrement intéressés par les jeux vidéos et conscient de ce qu’ils peuvent apporter à la renaissance Africaine, c’est avec joie que je vous invite dans un premier temps à partager cette idée pour créer autour de vous une communauté, une confrérie afin de maîtriser les bases de la création de jeux et de consoles, le rêve étant d’élaborer une sorte de Nintendo Kamite. Biensûr le profit ne doit pas nous intéresser, il est possible de se débrouiller pour vivre de sa passion et l’exporter à petit prix dans les maquis, dans les salons ou les cyber-café. Donc pour le plan d’action n’hésitez surtout pas à me contacter et si vous connaissez une personne scotchée à sa console décollez là une petite seconde pour lui en parler !
Si le projet aboutit, il est d’importance première qu’il quitte le monde virtuel. Pour cela rien de plus simple, les consoles utilisent aujourd’hui des réseaux, il appartient ensuite aux joueurs de s’organiser en confreries, de se rencontrer et de concrétiser la réalité virtuelle.