Une enquête, visant à déterminer comment plusieurs téléphones contrefaits bloqués ont pu fonctionner de nouveau sur le réseau, a été ouverte par la Commission des communications du Kenya (CCK).
Rappelez-vous, dès le 1er octobre, l’opération de lutte contre les faux appareils téléphoniques était entrée dans sa phase répressive. Les opérateurs des télécommunications avaient été mis à contribution pour bloquer les appareils qui avaient été reconnus comme faux.
D’après Francis Wangusi, le directeur général du CCK, la reprogrammation illégale des téléphones contrefaits bloqués a été constatée depuis la semaine dernière, lorsque les listes d’abonnés suspendus ont été complétées. Le directeur général a ajouté que les personnes qui se livrent à cette activité illégale violent la loi. La CCK estime à 1,4 million, le nombre de faux téléphones mobiles qui ont été bloqués pendant l’opération.