La désactivation s’est effectuée après la date butoir du 31 Décembre décidée par le CCK (Communications Commission of Kenya). L’exercice servant, entre autre, à réussir à identifier un abonné grâce à sa carte SIM, suit une autre initiative qui a été à l’origine de la déconnexion de 2 millions de téléphones contrefaits.
Alors que le pays se dirige vers des élections générales le 4 Mars prochain, les experts ont réalisé que l’enregistrement des cartes SIM sera d’une grande aide dans la lutte contre les discours de haine qui ont été monnaie courante durant les élections de 2007.
La capacité de savoir qui est l’instigateur d’un appel, ou qui a envoyé un SMS permettra de mettre un bâton dans les roues des fraudeurs et autres criminels utilisant les réseaux mobiles pour faire leur sale besogne.
Selon des chiffres préliminaires annoncés par le CCK, plus de 80% des lignes avaient été enregistrées le 28 Décembre 2012.