Après leur blocage au Maroc, c’est au tour du parlement sud-africain de réfléchir sur les effets de ces applications qui permettent de faire des appels via le réseau Internet.
Alors que plus de 10 millions de personnes utilisent WhatsApp en Afrique du Sud, les leaders du marché, MTN et Vodacom, auraient exhorté le gouvernement à se pencher sur le cas de ce qu’ils apparentent à des sangsues.
Une note envoyée aux parties prenantes a annoncé que les discussions, qui devraient se tenir avant la fin de ce mois, s’articuleront autour de la régulation des OTT et des impacts de ces acteurs sur l’activité des opérateurs.
Les décideurs échangeront également sur la nécessité pour les OTT d’être considérés comme des opérateurs à part entière, et s’ils devront disposer de licences pour proposer leurs services dans le pays.