Bien qu’il héberge l’une des plus grande richesse mondiale dans le domaine des TIC, en la personne de Carlos SLIM, le Mexique est loin d’être le pays qui reçoit le plus de couverture de nos médias dans le domaine de la technologie. Cependant, ces derniers temps, le pays est dans les news grâce à l’effet que les médias sociaux ont sur la société mexicaine.
Etant l’un des pays dans lesquels les classes sociales sont aux opposés les plus extrêmes, des rencontres entre des personnes appartenant à des univers différents ont parfois la fâcheuse tendance de s’axer autour de ce sujet sensible.
Qu’est-ce que ça à y voir avec les médias sociaux?
Plusieurs exemples de l’impact des médias sociaux par rapport à cette situation sont notables. L’un des plus édifiants est celui de cette vidéo Youtube, aujourd’hui devenue virale sur la toile, mettant en scène un policier et une riche mexicaine, qui n’hésite pas à le malmener en le traitant de « prolétaire ». Le sujet a enflammé la twittosphere mexicaine, qui s’est insurgée face à la réaction de leur jeune compatriote.
Un autre a opposé la fille d’un ministre mexicain, qui a fait fermer un restaurant parce qu’elle ne voulait pas attendre qu’une table se libère. Grace à une mobilisation sur les réseaux sociaux, le ministre a maintenant perdu son poste. Ceci a été fortement célébré et considéré comme une victoire pour les médias sociaux au Mexique.
Ces écarts entre les classes sociales sont également très présents sur le continent africain. Serait-il temps d’appeler les réseaux sociaux au secours?