A Cape Town en Afrique du Sud, la police aurait confisqué près de 30 véhicules Uber qui n’avaient pas d’autorisations de transport public nécessaires.
D’après Fin24, la police aurait commencé la saisie de voitures le 3 Janvier dans la province de Western Cape. Les chauffeurs dont les voitures ont été saisies devront s’acquitter d’une amende de 70 000 FCFA et devront verser un montant de 360 000 FCFA pour récupérer leur véhicule.
Ces problèmes rencontrés par Uber ont commencé dans la province du Cap occidental en début 2014. Selon Ventureburn, l’association des chauffeurs de taxi de Western Cape aurait annoncé aux chauffeurs de taxi qu’ils risquent la confiscation de leurs licences de taxi s’ils continuent de collaborer avec Uber.
Alon Lits, directeur général de Uber à Johannesburg, a déclaré qu’un dialogue avait lieu actuellement entre Uber et la ville de Cape Town pour définir quel type de licence serait appropriée pour le service, avant d’ajouter que la régulation de Johannesburg classait Uber dans la catégorie de services de fret, qui a moins d’exigences que les taxis.