A l’instar de plusieurs pays africains, la Zambie n’est pas épargnée par le phénomène de la cybercriminalité. Solomon JERE, vice-inspecteur général de la police, affirme que les cas de fraudes se révèlent le plus souvent au niveau des guichets automatiques. Il avertit que ses agents sont prêts à mettre fin à ce type d’exercices.
Selon HumanIPO, les actes cybercriminels sont souvent perpétrés par des étrangers qui, par la suite, recrutent et forment des zambiens pour les aider. Plus de 4 millions de dollars ont été volés dans les banques commerciales. Une somme colossale qui met la police en état d’alerte. « Nous tenons à assurer la nation zambienne que nous sommes en alerte contre ces criminels et une fois pris, ils devront faire face à la colère de la loi », avertit le responsable de la police.
Ceci dit, Jere s’inquiète d’une probable recrudescence du phénomène à l’occasion des prochains événements comme le Zambia International Trade Fair ou le Salon de l’Agriculture et du Commerce de Lusaka. Il appelle les participants à prendre soin de leurs documents personnels et à faire attention lors de leurs transactions électroniques et financières.