Les patrons marocains prévoient d’investir dans des programmes de transformation pour assurer la viabilité de leur entreprise à long terme. Selon une enquête menée par le cabinet PricewaterhouseCoopers, 44 % des dirigeants marocains estiment que leur entreprise ne sera pas viable dans dix ans sans transformation. Les domaines prioritaires d’investissement sont l’amélioration des compétences des employés, l’efficience opérationnelle, le déploiement technologique et la transition énergétique. Les dirigeants marocains sont plus optimistes quant à la croissance de leur entreprise que quant à la croissance de l’économie mondiale ou marocaine à court terme. Cependant, ils font face à de nombreuses menaces, telles que l’inflation et la volatilité macroéconomique, le changement climatique, les risques sanitaires et les risques liés à la cybersécurité.
Les dirigeants marocains sont conscients que la transformation est nécessaire pour assurer la viabilité de leur entreprise à long terme. Leur priorité est l’amélioration des compétences de leurs employés, suivie de l’automatisation des processus et des systèmes et du déploiement de nouvelles technologies. Les autres domaines d’investissement pour assurer la transformation de l’entreprise sont l’adoption de sources d’énergie alternatives, l’ajustement de la chaîne d’approvisionnement et la décarbonisation du modèle économique. Les dirigeants marocains sont plus optimistes quant à la croissance de leur entreprise que quant à la croissance économique mondiale ou marocaine à court terme.
Les dirigeants marocains doivent faire face à de nombreuses menaces à court et à long terme, notamment l’inflation, la volatilité macroéconomique, le changement climatique, les risques sanitaires et les risques liés à la cybersécurité. Ils adoptent des stratégies de résilience à court terme, telles que la recherche de nouveaux fournisseurs, la réduction des charges d’exploitation, la diversification de l’offre de produits/services, l’augmentation des prix des produits ou des services proposés et la réévaluation des projets en cours. Une minorité de dirigeants a procédé à des coupes dans les effectifs ou à des réductions de salaire.
