Meta prévoit apparemment une autre vague de licenciements massifs qui pourrait affecter 4 000 emplois dans ses équipes techniques, y compris celles travaillant sur Facebook, Instagram, Reality Labs et WhatsApp. Cela intervient après que le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a annoncé en février 2023 que l’entreprise éliminerait encore 10 000 emplois dans les prochains mois, après avoir supprimé 11 000 emplois en novembre 2022. Bien que les employés en Amérique du Nord soient touchés, certains pays ne seront pas affectés, et il n’est toujours pas clair quels pays africains seront touchés.
Meta a établi son premier siège social africain à Johannesburg, en Afrique du Sud, en 2015, pour se concentrer sur les marchés en croissance au Kenya, au Nigeria et en Afrique du Sud. En 2020, l’entreprise a annoncé des projets pour un bureau nigérian à Lagos, le hub commercial et technologique du pays. Les licenciements en cours font partie des plans du PDG Mark Zuckerberg pour faire de 2023 une « année d’efficacité ». Avant cette nouvelle vague de coupes, Zuckerberg a déclaré que les départements technologiques seraient impactés en avril, tandis que la partie commerciale serait affectée en mai.
Meta comptait environ 86 000 employés à la fin de 2022, et les licenciements chez le géant des médias sociaux font partie des efforts du PDG Mark Zuckerberg pour rationaliser les opérations de l’entreprise. Malgré la présence de l’entreprise sur les marchés africains, il n’est pas clair quels pays africains seront touchés par les licenciements.