La Fondation Merck a organisé, le 31 août dernier, un sommet inédit. Il s’agit de son premier Sommet de Vidéoconférence de l’Initiative des premières dames de la Fondation Merck (Sommet VC MFFLI). Lors de cette édition spéciale, les participantes ont partagé leurs expériences, échanger sur des défis et les solutions à même de permettre de les relever.
Ils concernent tout particulièrement le renforcement des capacités des soins de santé pour une meilleure réponse à la pandémie actuelle sur le continent africain. Treize premières dames africaines ont répondu à l’appel du Prof. Dr. Frank Stangenberg Haverkamp et du Dr. Rasha Kelej. Il s’agit d’Esther Lungu de la Zambie, d’Auxillia Mnangagwa du Zimbabwé, de Fatima Maada Bio de la Sierra Leone, d’Aissata Issoufou Mahamadou du Niger, de Monica Geingos de la Namibie, d’Isaura Ferrão du Mozambique, de Monica Chakwera du Malawi, de Rebecca Akufo-Addo du Ghana, de Fatoumatta Bahbarrow de la Gambie, de Brigitte Touadera de la République Centrafricaine, d’Angeline Ndayishimiye du Burundi, de Neo Jane Masisi du Botswana et d’Ana Dias Lourenço de l’Angola.
En tant que CEO de la Fondation Merck, Dr. Rasha Kelej n’a pas manqué d’exprimer sa joie. »Je suis très fière de notre précieux partenariat avec les premières dames d’Afrique en tant qu’Ambassadrices de « Merck Plus Qu’une Mère ». Nous avons toujours cru en l’importance de renforcer les capacités de soins de santé en offrant une formation aux prestataires de soins de santé dans de nombreuses spécialités médicales. C’est notre stratégie depuis que nous avons commencé en 2012 (…) bien avant le début de la pandémie », a-t-elle fait savoir.