L’Afrique n’a pas inventé la cryptomonnaie. Le concept de blockchain, ainsi que le Bitcoin et les autres devises pionnières liées à cette technologie sont originaires d’autres continents. Toutefois, sous nos tropiques, des startups ont su faire de plusieurs de ses possibilités infinies, des réalités. En voici cinq :
1- Les paiements sociaux
La cryptographie est souvent utilisée par des professionnels pour répondre à des problématiques professionnelles. Cependant, certaines startups s’en servent pour satisfaire différents besoins du quotidien. Avec la cryptomonnaie, elles permettent à leur clients de régler leurs factures, d’acheter du crédit, de la donnée, des frais d’inscription, etc.
2- Retirer du cash auprès de banques
Certaines banques à travers le continent ont noué des partenariats avec des startups du domaine de la cryptographie. Ses accords permettent aux porteurs de portefeuilles numériques de retirer du cash à partir des bitcoin, ethereum et autres qu’ils possèdent. Ce à partir de carte de débit similaires à celles proposées par des acteurs comme Visa et Mastercard.
3- Les achats internationaux
La startup Blueloop a, à partir de la cryptographie, créé un dollar virtuel accepté par les plus grandes plateformes e-commerce comme Amazon ou AliExpress. Elle permet à ses utilisateurs de faire sauter cet obstacle monétaire et de contourner aussi certaines restrictions locales comme les limitations de dépenses imposées par certaines banques centrales.
4- Les transferts d’argent internationaux
Les plateformes de cryptomonnaie africaines offrent généralement diverses formes de services de transfert d’argent internationaux. Le portefeuille KBX de la startup KuBitX permet d’envoyer de l’argent vers certains pays africains en achetant les stable coins (des cryptomonnaies dont la valeur est liée aux devises du monde réel) d’une devise, en les convertissant, puis en les envoyant au destinataire.