« WhatsApp ne peut pas, sans obtenir l’autorisation préalable du régulateur de l’information, traiter les informations de contact de ses utilisateurs dans un but autre que celui pour lequel le numéro était spécifiquement destiné à la collecte, dans le but de lier ces informations conjointement avec des informations traitées par d’autres entreprises de Facebook. »
Cette déclaration des autorités sud-africaines concerne l’affaire des nouvelles conditions générales d’utilisation de WhatsApp. Celles-ci avaient suscité un véritable tollé dans le monde entier et provoqué un exode massif vers des concurrents comme Signal et Telegram. La nation arc-en-ciel a pris sa décision sur la base de l’article 57 du Protection of Personal Information Act (Loi sur la protection des informations personnelles).
Le régulateur a déclaré avoir écrit à Facebook Afrique du Sud et fait part de ses préoccupations concernant la politique de confidentialité de l’entreprise américaine. Cette dernière, n’a, aux dernières nouvelles, pas encore fait de commentaires.