En Afrique, la société télécom Vodafone est active en République démocratique du Congo (RDC), au Ghana, au Kenya, au Lesotho, au Mozambique, en Afrique du Sud, en Tanzanie, en Egypte, en Angola et en Tunisie. Afin de faciliter l’introduction de nouveaux produits et services numériques à destination des consommateurs de ces pays et dans le reste du monde, elle a choisi Google Cloud.
Les deux sociétés ont signé un accord de partenariat d’une durée de six ans. Main dans la main, elles vont construire une nouvelle plateforme de données intégrée puissante avec la capacité supplémentaire de traiter et de déplacer d’énormes volumes de données depuis plusieurs systèmes vers le cloud. Cela permettra des lancements simultanés à l’échelle mondiale.
La plateforme s’appellera Nucleus et pourra servir à plus de 700 usages. Elle sera dotée d’un système novateur dénommé Dynamo, capable de traiter environ 50 téraoctets de données par jour, soit l’équivalent de 25 000 heures de film HD. Les gains pour Vodafone seront énormes, comprenant une plus grande rapidité de lancement commercial, des prises de décision basées sur des faits, des coûts réduits, l’élimination de la duplication des sources de données ainsi que des opérations simplifiées et centralisées.
Johan Wibergh, directeur de la technologie de Vodafone, a déclaré : « Vodafone est en train de jeter les bases d’un avenir numérique. Nous disposons de vastes quantités de données qui, lorsqu’elles sont traitées de manière sécurisée et rendues disponibles sur l’ensemble de notre empreinte, grâce à la puissance collective de Vodafone et de l’ingénierie de Google Cloud l’expertise, transformera nos services, à nos clients et gouvernements, et les sociétés où ils vivent et servent. »