En juillet dernier, à la faveur de l’Africa Open DEAL Initiative de la FAO, l’Afrique est devenue le premier continent au monde à achever la collecte de données d’utilisation numérique complètes, précises et harmonisées et de données sur les changements d’affectation des terres. Cela a permis la formation d’une carte numérique qui a révélé des choses intéressantes sur les arbres de la région.
En effet, d’après l’étude menée, il y a plus d’arbres en Afrique qu’on ne le pensait au départ. Ils sont au nombre 7 millions de dollars, sans compter les principales forêts du continent comme la forêt tropicale du Congo. La FAO a déclaré que les résultats révèlent d’énormes opportunités pour la gestion de l’environnement, de l’agriculture et de l’utilisation des terres en Afrique.
Ils augmentent la capacité des pays à suivre les changements et à mener des analyses pour une production durable informée, des interventions de restauration et une action climatique. Par conséquent, les pays peuvent détecter où se produit la déforestation, où les terres colonisées empiètent sur les terres cultivées ou les prairies et où la zone humide est en train de disparaître.